Lorsque l’on rédige un protocole de sophrologie, l’attention se porte sur chaque mot utilisé lors de la descente en induction pour que l’audience puisse se projeter sur ce qui est dit et notamment leur inconscient.
Ainsi si je dis détendez la partie haute du dos à des enfants cela aura plus d’impact que si j’utilise l’omoplate.
Dans une descente en induction, on ne fait pas un effort pour détendre une partie du corps citée, c’est notre inconscient qui travaille. On a écouté, on l’a pensé et cela se créé.
Lorsque l’on dit que la pensée est créative, il y a plusieurs conséquences :
La première, la plus bénéfique, c’est imaginer des choses positives pour augmenter les chances qu’elles arrivent.
La deuxième est lorsque notre mental est toujours actif et que l’on a des pensées qui tournent tout le temps, celles-ci se créent autour de nous. Si elles sont négatives, on créée notre réalité négative.
Autre conséquence d’une pensée créatrice est lorsqu’elle touche plusieurs personnes en même temps : un exemple positif, nous
souhaitons gagner la coupe du monde de rugby.
Un exemple négatif, la peur que l’on écoute quotidiennement à travers les actualités, et il y a de nombreux exemples autour de ça.
Lorsque nous prions, nous utilisons ce système de pensée créatrice ritualisé. Seul ou à plusieurs, la messe, le mariage, ect…
Comment se manifeste cette création ?
C’est une création qui n’est pas palpable. C’est une énergie. Lorsque les pensées sont les même, elles se rejoignent et devient un égregor. Une bulle plus importante d’une même énergie.